Quelle que soit l'émotion qui parcourt mon corps, elle est en lien directe avec mes pensées conscientes et inconscientes.

 

L’émotion est comme un feu de bois.

Plus je charge le feu : plus il flambe.

Si j'arrête d'alimenter le feu, il continue de brûler bien sûr, mais si j'arrête suffisamment longtemps, il finit par s'éteindre.

Le bois devient des braises, les braises deviennent des cendres que le vent éparpille dans la nature...

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Le corps fait en permanence la moyenne ou le produit de toutes les pensées positives et négatives, conscientes et inconscientes qu'il traduit sans cesse par une émotion dont on perçoit (ou pas) le changement brusque ou graduel.

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J’ai commencé par comprendre cela intellectuellement, aujourd'hui je réalise que c'est vrai pour toutes les émotions : la peur, la colère, la tristesse, la joie… etc… vraiment toutes les émotions.

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Il n’y a pas de place pour deux émotions dans le corps… il y a parfois des mélanges comme la nostalgie ou l’on est ni triste ni joyeux…  c’est comme en peinture : si on mélange du bleu avec du jaune cela donne du vert…

il nous faudrait imaginer une infinité de mots pour nommer toutes les nuances d’émotions qui parcourent le corps.

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C’est plutôt bon signe d'éprouver des émotions : ça veut dire qu'on est vivant... si on est vivant : tout est possible.

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Aujourd’hui, je considère les émotions comme une perception du corps au même titre que le toucher, la vue, l'audition, l'odorat et le gout.

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C’est mon 6ème sens : le sens des émotions 

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JL :-)