top of page

Pour guérir

Pour guérir, j’ai commencé par arrêter de me rendre malade.

​

​ Je crois au pouvoir infini de guérison de l'esprit... la difficulté est de ne pas confondre l'esprit avec le mental qui est plutôt farceur. La détente et la méditation aide et permet la rencontre avec le mental en élargissant le champ de conscience. (Le champ de conscience est, tout simplement l’endroit où se produisent nos pensées. je développe ce concept dans la page « le corps, le mental , le champ de conscience et la nature de l’esprit »)

​

​ Le bon chemin pour être guéri est de sortir de toute compétition, de tout combat intérieur, de toute dualité afin de favoriser la paix et créer en nous même, une image claire et précise de ce qu'est le corps en bonne santé. Le bon chemin est de garder dans ses pensées cette vision de la vie, avec l’intention calmement déterminée d’obtenir ce résultat, et la certitude absolue de l’obtenir effectivement, puisque nous avons le droit d’être heureux.

​

​ Agir. Regarder ce qui est possible de faire maintenant et non ce que la maladie empêche de faire.

​

​ Pour guérir, j’ai commencé par arrêter de me rendre malade en changeant ma manière de penser.

​

​Il y a une grande différence entre être et avoir.

 En effet, si pense que j’ai une maladie : le corps pourra plus facilement s’en libérer, ne plus l’avoir.

 En revanche, si je pense que je suis malade : il me sera beaucoup plus difficile de changer ce que je suis. Ou pour le dire plus exactement : ce que mon mental me fait croire que je suis.

​

 Ce que je trouve intéressant, c’est d’observer (sans juger... juste observer) comment mon mental réagit ou pas quand j’affirme quelque chose qui est vrai, quelque chose qui est un peu vrai et quelque chose qui est complètement faux.

​

 C’est en ajustant mon affirmation dans le rapport vérité-mensonge que la relation entre ce que je suis fondamentalement et mon mental évolue au fil du temps…

​

 Chemin faisant, me réjouir de mes progrès et déployer toute ma confiance dans la justesse de la vie me permet de garder le cap vers le bonheur auquel j’aspire comme tout le monde.

​

​ Quand le corps a perdu une grande partie de son capital santé, il peut s’avérer nécessaire de fermer ses pensées à tout ce qui peut troubler notre vision de la vie, briser ou atténuer l’intention d’obtenir ce que l’on veut ou étouffer notre certitude d’y avoir droit.

​

 Il me semble essentiel de maintenir dans ses pensées l’image de ce que l’on veut et non l’image de ce que l’on ne veut pas.

​

 Maintenir l’image ou sa vision de la vie, maintenir l’intention calmement déterminée d’obtenir ce que l’on veut, maintenir la confiance et la gratitude envers la vie.

 La gratitude dont je parle n’est pas de remercier vite fait le ciel ou la terre et de revenir aussitôt à nos pensées habituelles… la gratitude dont je parle, est un sentiment intense de joie et d’inspiration que l’on va ressentir et vivre toute la journée.

​

 Enfin, pour obtenir ce que l’on veut : le bons sens est d’agir maintenant dans l’environnement actuel même s’il n’est pas encore l’idéal que l’on souhaite atteindre (agir par exemple avec le triangle de Nat') ou autre méthode et éviter de passer d’une méthode à une autre sauf si elles se complètent dans une pratique quotidienne.

​

 Je crois qu’il faut chercher à faire tout ce qui peut être fait maintenant, dans notre environnement actuel, en agissant sur les choses et les gens d’une manière certaine et efficace pour chaque tâche intellectuelle, ou physique de la journée. Le bémol à cette affirmation, est qu’il ne s’agit pas de faire en une seule journée les tâches de plusieurs journées.

​

  Il est vital de s'octroyer du repos sans se faire piéger par la paresse.

​

​ Pour guérir, il convient de sortir du jugement. Commencer maintenant par s’accepter tel que l’on est, est la bonne voie. Accueillir l’émotion de chaque moment.

​ Quelle que soit l'émotion qui me parcourt, elle est en lien directe avec mes pensées. L’émotion est comme un feu de bois ... Plus je charge le feu : plus il flambe… J’ai développé cette idée dans la note de conférence : « Le sens des émotions »

​

Copié-collé du sens des émotions :

​

Quelle que soit l'émotion qui parcourt mon corps, elle est en lien directe avec mes pensées conscientes et inconscientes. L’émotion est comme un feu de bois. Plus je charge le feu : plus il flambe. Si j'arrête d'alimenter le feu, il continue de brûler bien sûr, mais si j'arrête suffisamment longtemps, il finit par s'éteindre. Le bois devient des braises, les braises deviennent des cendres que le vent éparpille dans la nature...

Le corps fait en permanence la moyenne ou le produit de toutes les pensées positives et négatives, conscientes et inconscientes qu'il traduit sans cesse par une émotion dont on perçoit (ou pas) le changement brusque ou graduel.

J’ai commencé par comprendre cela intellectuellement, aujourd'hui je réalise que c'est vrai pour toutes les émotions : la peur, la colère, la tristesse, la joie… etc… vraiment toutes les émotions.

Il n’y a pas de place pour deux émotions dans le corps… il y a parfois des mélanges comme la nostalgie ou l’on est ni triste ni joyeux…  c’est comme en peinture : si on mélange du bleu avec du jaune cela donne du vert… il nous faudrait imaginer une infinité de mots pour nommer toutes les nuances d’émotions qui parcourent le corps.

C’est plutôt bon signe d'éprouver des émotions : ça veut dire qu'on est vivant... si on est vivant : tout est possible.

Aujourd’hui, je considère les émotions comme une perception du corps au même titre que le toucher, la vue, l'audition, l'odorat et le gout.

C’est mon 6ème sens : le sens des émotions :-)

 

 C’est plutôt bon signe d'éprouver des émotions : ça veut dire qu'on est vivant... si on est vivant : tout est possible. Aujourd’hui, je considère les émotions comme une perception du corps au même titre que le toucher, la vue, l'audition, l'odorat et le gout. C’est le sens des émotions :-)

 Ce sens des émotions m’informe à chaque instant de l’état de mes pensées. Si l’émotion est agréable : c’est bon. Sinon, il faut faire quelque chose : accueillir, et trouver un moyen d’arrêter d’alimenter le feu. S’il me vient une pensée du genre : « je n’arrive pas à… » se référer à la note de conférence intitulée : « la boite à vitesse ».

​

 Pour guérir : j'ai commencé par accepter d'en être là où j'en étais... J'ai permis aux mots et aux maux d'exister, de coexister.

  Nous ne pouvons pas nous rendre dans un endroit sans partir de là où nous nous trouvons, n'est-ce pas ?

  Il en est de même pour guérir. J'ai commencé par faire l'état des lieux... comme lorsque l'on arrive dans une nouvelle demeure. on commence par faire l'état des lieux puis on décide d'agir pour réaliser les priorités.

​

​ Le corps est une merveille de la nature, je crois que c’est la moindre des choses que de l’aider dans son élan naturel vers la guérison.

​

​ Le flux naturel de la vie : Le corps est en bonne santé à l’origine et le demeure. Il cherche par tous les moyens dont il dispose à rester en bonne santé ou à retrouver la bonne santé. Les moyens dont dispose le corps sont incommensurables.

 Il est d’une intelligence extraordinaire. On peut lui faire confiance : il est une forme de vie qui, comme toutes les formes de vie, tend vers l’harmonie et la connaissance.

 Hélas, au moindre bobo le mental réagit conformément au conditionnement qu’il a subit… et trop souvent en luttant contre le mal. Pourtant, la plupart du temps, les maux disparaissent d’eux même… et plus vite en soutenant le processus naturel de guérison.

 Pour le dire autrement, quand le corps et le mental agissent de concert pour l’élimination de ce qui encombre le corps, la maladie est dès lors éradiquée ou en voie de l’être.

​ Je pense désormais que le corps est capable d'éliminer ce qui l'encombre. C'est l'une de ses fonctions. Si j'adhère à la pensée qu'il puisse se retrouver dépassé par une maladie : je favorise ce dépassement en entretenant dans mes pensées ce que je ne veux pas.

 Une telle pensée témoigne d'une peur ou d'un manque de confiance dans la capacité du corps à faire son travail d'élimination.

​ Une maladie est produite par le corps comme une la tentative extrême de communication avec un mental "qui n'en fait qu'à sa tête" et qui n'agit pas de concert avec le corps dans le flux de l'univers.

​

 Le mental réagit conformément au conditionnement que nous lui avons fait subir. Je crois que chacun(e) de nous est responsable des conditionnements de son propre mental, même si nous avons tendance à croire que c’est l’éducation que l’on a reçu ou autre responsable extérieur ou intérieur. Nous avons toujours le dernier mot pour ou contre l’adhésion à telle ou telle valeur. Nous avons bien heureusement la capacité de modifier progressivement les conditionnements qui ne nous conviennent plus.

​ Parfois le corps exprime par des maux que quelque chose se passe dans le corps. Point. Il n’y a pas forcément lieu de s’en inquiéter. Il ne faut pas les ignorer car les maux ont besoin d’être entendus, acceptés, accueillis. Tout comme les émotions.

 Parfois le corps exprime par des maux que tel comportement n’est pas adapté au maintien de la bonne santé. Si les maux ne sont pas suffisants pour se faire comprendre par le mental : le corps crée des maladies qui deviennent de plus en plus graves jusqu’au moment où le mental accepte de bien vouloir changer certaines habitudes et entrer dans une réelle communication avec le corps.

 Alors, tout peut aller très vite pour deux raisons : la première est que les habitudes (entre parenthèse que le mental a coutume de qualifié de bonnes ou de mauvaises mais qui ne sont ni bonnes ni mauvaises) se renforcent par le fait même de l’habitude. La deuxième est que nous avons la chance d’être, de faire partie et d’intervenir dans un univers qui aime la vitesse et qui exhausse ce que nous lui demandons par la pensée.

​ Lorsque le corps et le mental agissent de concert dans le flux de la vie, il devient alors possible de guérir car un cercle vertueux se crée de lui-même.

​

 La guérison est un processus naturel :

​

​ Bien évidemment, mon propos n’invite surtout pas à faire demi-tour sur l’autoroute… si l’on est engagé, par exemple, dans des procédés médicaux plus ou moins lourds ou un style de vie particulier, il convient d’attendre la prochaine sortie d’autoroute… ce qui n’empêche pas pendant ce temps, de créer consciemment et délibérément une image claire et précise de ce que l’on veut vraiment… chaque moment de temps libre peut être consacré à ce nouveau loisir… alors, la vie montre tôt ou tard, parfois instantanément une sortie d’autoroute… évidement, il est nécessaire de rester vigilant pour ne pas louper la sortie.

​ Je n’ai pas la prétention à travers ce texte de donner des conseils… mais juste envie de partager mon expérience et mes observations en vous offrant cette page de mon carnet de voyage... comme un témoignage.

​

​ Pour guérir, j’ai changé mon rapport à la souffrance, mon rapport à la douleur, mon rapport avec moi-même, les autres et le monde.

 J’affirme donc que mon corps est en bonne santé même si mon mental à coutume de me faire croire qu’il ne l’est pas. S’il ne l’est pas effectivement : c’est parce qu’il a juste, momentanément besoin de faire l’expérience de telle maladie. Ou parfois, c’est mon corps qui se souvient d’avoir eue telle maladie ... J’affirme et j’écoute si quelque chose se lève en moi par rapport à telle affirmation… ce qui se lève est la réponse de mon mental par rapport à telle affirmation. Cela me permet de faire plus ample connaissance avec mon mental et de ses conditionnements de façon à établir une communication constructive avec lui, à altérer progressivement les habitudes invalidantes, les pensées automatiques, les pensées limitantes.

 

Plus le corps et le mental s’harmonisent plus l’élimination de ce qui encombre le corps devient facile.

​

​ Je m’étonne de voir des gens espérer un changement dans leur vie alors qu’ils ne veulent rien changer ... ni leurs habitudes invalidantes, ni leurs manière de penser limitante.

 Je m’étonne parce que j’ai compris que les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets. les mêmes résultats… notre vie est le résultat de notre manière d’agir et de penser. C’est comme ça. Nous ne pouvons pas nous soustraire des lois de l’univers. L’eau mouille et le feu brûle. La pomme qu’on lance dans les airs va exactement dans la direction qu’on lui inflige.

​ Nous avons la chance de vivre un univers dont les lois sont stables. Imaginez un monde ou la loi de la gravité changerait quand bon lui semble : on ne pourrait jamais apprendre à marcher… le soleil se lèverait quand il veut, ou bien, un jour sur une planète un jour sur une autre… on ne pourrait rien construire.

​

 Quel que soit la situation où nous nous trouvons, nous pouvons remercier la vie de nous offrir la stabilité du monde qui nous porte. A l’image de cette stabilité, nous pouvons stabiliser nos pensées pour réaliser nos rêves …

 

mais il faut avoir un rêve pour qu’un rêve se réalise …

 

 L’univers n’éprouve aucune difficulté à réaliser le rêve de milliards personnes qui en fait, font chacune le cauchemar d’être malade… l’univers peut tout aussi facilement réaliser le contraire : il suffit de lui demander.

​ Je choisis de demander à l’univers d’être guéri. Pour cela, je soutiens le ciel avec ma tête du mieux que je peux, simultanément, au sens propre, et au sens figuré.

​

​ Pourquoi tous ces efforts ? vous direz-vous peut-être… parce que quand je crois que je suis malade : je fais deux erreurs fondamentales :  

 La première est de croire que je suis un corps qui a une âme… alors qu’en fait, je suis une âme éternelle qui fait l’expérience d’un corps humain.

 La deuxième est de croire ce que je vois… alors qu’en fait je vois ce que je crois puisque l’univers concrétise ce que je lui demande par la pensée.

​

​ Peut-être que ce texte soulève en vous d’autres questions … écrivez les ... cela vous permettra de mieux vous connaitre … et si vous partagez vos questionnements avec moi, je me ferai un plaisir d’exprimer d’une manière ou d’une autre mon point de vue sur chaque question.

​

​ Et si vous n’avez pas envie de m’écrire : faites comme moi en ce moment : faites-le comme si vous alliez le poster … ou bien, faites-le pour vous-même… écrivez une page de votre carnet de voyage … Il vous viendra fort probablement de nouvelles idées… et vous vous surprendrez vous-même par votre créativité.

​

 Je suis sûr que la vie ne vous laissera pas sur le bord du chemin. Soyez ouvert(e) et vigilant(e) : la vie vous donnera une piste à suivre… puisqu’elle le fait pour moi.

 

JL :-)

bottom of page